Youri à l’arrivée de IRONMAN 70.3 en 2016
Evidemment, le but de toute préparation sportive est d’obtenir comme résultat une amélioration notable de la performance de l’athlète.
Mais voilà, lorsque j’accompagne un athlète amateur, ce n’est pas uniquement le niveau de performance qui me préoccupe mais il y a également d’autres facteurs qui vont me confirmer si la préparation a été réussie ou non.
La préparation à une échéance sportive est souvent un long chemin semé d’embûches. Il y a l’objectif de la compétition parfois ambitieux, mais presque plus difficile, il y a surtout toute la préparation parfois longue et fastidieuse avant d’y arriver. L’athlète doit passer par plusieurs étapes.
Durant ces étapes, mon rôle consiste à travailler sur ces quelques paramêtres en même temps :
- Améliorer les performances de l’athlète
- Préserver l’athlète des blessures
- Maintenir le plaisir durant toute sa préparation
- Maintenir sa motivation à 100% jusqu’au Jour J
Et pour obtenir cet équilibre, je focalise mon attention sur :
- La progressivité (chi va piano, va sano e va lontano)
- La pédagogie (expliquer le pourquoi des séances prévues)
- L’adaptation (exploiter le meilleur de l’athlète en exploitant ses forces et ses préférences)
- La régularité (chaque jour vaut sa peine)
- La qualité de l’échange (coach <> athlète)
Et le plus important …
- La récupération (la clé pour repartir le lendemain avec les bénéfices du jour d’avant)
En conclusion, mon grâle, mon but ultime en tant que coach est lorsque une fois la ligne d’arrivée passée, mon athlète vient me dire « C’était une aventure géniale. Même pas mal. J’aurais pu aller encore plus vite durant la course car j’avais la caisse mais j’ai eu tellement de plaisir que je me réjouis déjà du prochain challenge !»
Par Pascal Oberson
Accompagnement & Coaching sportif
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